Par Thibault Raoult Rédacteur en chef
Thibault est rédacteur en chef de Purebreak. Ses passions dans la vie ? Les sneakers, les parcs d'attractions, New York, le PSG, la NBA, le tarama, appeler les gens "mon ptit gueuleton", hurler devant Koh Lanta et Pékin Express, sans oublier le meilleur moment de la vie : analyser le chassé-croisé des juilletistes et des aoûtiens lors du Point Route.
Après avoir conquis le monde entier sur les smartphones, Candy Crush s'apprête à débarquer à la télé avec son propre jeu. Un concept bien WTF auquel même Cyril Hanouna, expert des séquences et jeux tous plus barrés les uns que les autres, n'avait pas pensé. Vive les Etats-Unis !

Les bonbons de Candy Crush n'ont pas dit leur dernier mot. Un peu ringardisés sur mobile par les applications stars Snapchat, Pokémon GO, WhatsApp, FIFA, Clash Royale &co, les dragées multicolores rachetées une fortune par Activision vont faire leur retour non pas sur nos téléphones mais à la télé.

C'est la chaîne américaine CBS qui a annoncé cette nouvelle avec fierté via un communiqué repris par différents médias, dont Deadline. Dans ce communiqué, le président de la chaîne s'enflamme notamment pour cette idée gourmande : "On est très excités de travailler avec Lionsgate et King afin d'adapter un des jeux les plus populaires pour la télévision".

On y apprend également (un peu) le concept du jeu, pas forcément très clair : des équipes de deux personnes qui seront en compétition et qui devront utiliser leur intelligence et leur agilité physique via des plateaux interactifs de jeu géants avec des technologies dernier cri. Le communiqué précise également que les téléspectateurs pourront également participer au programme devant leur télé, sans préciser comment. Enfin, ni l'animateur ou animatrice du jeu, ni la date d'arrivée du jeu n'ont été communiqués.

Rien de très concret donc, mais un projet surprenant et toujours moins glauque que ces émissions improbables sales et glauques repérées au Mipcom 2016, et qui pourraient arriver en France prochainement. Ca tombe bien, on préfère lécher des bonbons que des aisselles.