Les semaines se suivent et ne se ressemblent pas dans L'amour est dans le pré 2025. Après un épisode 7 marqué par le départ de Samuel, faute de prétendantes, ou encore les enflammades de Anthony face à Évelyne, place à Jean-Louis. Dans l'épisode 8, disponible en avant-première sur M6+ Max avant sa diffusion du 13 octobre, le cœur de l'éleveur risque bien de provoquer quelques dégâts collatéraux.
Jean-Louis retrouve ses deux prétendantes, Sylvie et Isabelle. Cette dernière n'est pas une inconnue des fidèles du programme : elle avait déjà participé à la saison 11 d'ADP. Et dès son arrivée à la ferme, le courant passe instantanément. Un détail que Sylvie, la seconde prétendante, perçoit immédiatement.
"Quand je les vois discuter ensemble, comme j'ai un grand ressenti envers lui, ça me fait de la peine. C'est vrai que je me sens un peu exclue", confie-t-elle avec émotion.
L'ambiance va encore se tendre au fil des heures. Si Sylvie tente de créer une complicité avec l'agriculteur, rien n'y fait. Jean-Louis, lui, semble bien plus passionné par son travail à la ferme que par les échanges avec sa prétendante. Les regards qu'il adresse à Isabelle ne trompent personne.
Malgré un tête-à-tête accordé par l'agriculteur, le malaise s'installe. Sylvie sent qu'elle ne parvient pas à exister à ses yeux, et la situation devient insoutenable. "J'essaie d'être dedans, mais la connexion n'est pas du tout la même entre lui et moi qu'entre lui et Isabelle" déplore-t-elle.
Elle fond ensuite en larmes : "Ce matin, j'ai vu certains regards avec Isabelle qui en disaient long. Ils étaient vraiment connectés". Face à ce déséquilibre évident, Sylvie parait prête à jeter l'éponge : "Je crois que je vais laisser ma place".
Une décision lourde de sens, qui pourrait bien bouleverser la suite de l'aventure de Jean-Louis. Faut-il s'attendre à un départ inattendu dès le prochain épisode ? Ou à un retournement de situation orchestré par Karine Le Marchand ? Réponse dans les prochains épisodes sur M6, avec des épisodes qui promettent d'être riche en émotions... et en larmes.
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