Claire Keim est de retour sur nos écrans. Ce lundi 3 novembre 2025, la comédienne est à l'affiche de Un meurtre (presque) parfait, un téléfilm en deux parties, imaginé comme le pilote d'une possible nouvelle collection d'intrigues en cas de succès sur TF1.
Au programme ? Prenez du Agatha Christie, ajouté un zeste de Arabesque et une touche de Cluedo, saupoudrez le tout d'un peu d'A couteaux tirés et vous obtenez ce concept aussi passionnant qu'excitant.
Dans ce téléfilm, Claire Keim se glisse dans la peau de Laure Mondo, une célèbre romancière passionnée par le crime parfait, prête à tout pour lever le voile sur la mort suspecte d'un patron d’un groupe de luxe international. A cette occasion, elle est assistée de Pica (Clémence Lassalas), une jeune femme présentée comme adoratrice du mauvais goût, mais pour autant ouverte au monde entier.
Un rôle inédit dans la carrière de Keim, qui l'a immédiatement ravie. "On ne m'avait jamais proposé un rôle comme ça, s'est-elle exclamée auprès de TF1. J'ai aimé le fait d'incarner un personnage qui me permettait de forcer le trait et d’être dans l’excès".
Aussi, après avoir décrit son héroïne comme un personnage "snob, hautain, péremptoire et légèrement condescendant", l'actrice n'a pas boudé son plaisir de jouer quelque chose de différent. "L'ambiance un peu BD avec un personnage cartoonesque, c’est inattendu et ça m’a instantanément séduite, a-t-elle indiqué. Le côté, Agatha Christie sous ecstasy m’a plu !"
© Capture d'écran Un meurtre (presque) parfait (TF1)
Ceci étant dit, Claire Keim aurait aimé jouer quelqu'un d'autre au sein de ce projet. Qui donc ? Pica, l'assistante de Laure. Décrite à l'écran comme "une punk à chien attachante", la comédienne y trouve des qualités qu'elle aurait adoré être en mesure de porter.
"J'adore le personnage de Pica, s'est enthousiasmée Keim. Je vous avoue que j’aurais adoré avoir 25 ou 30 ans de moins afin de pouvoir postuler pour ce rôle qui, sur le papier, me séduisait presque plus que Laure." Et de préciser la raison à sa fascination pour elle : "C'est un personnage qui autorise une telle liberté et une telle spontanéité."
Les scénaristes sont prévenus : à eux d'imaginer une histoire à la Freaky Friday pour lui permettre de concrétiser ce rêve.
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