En 2021, Elsa Bois et Michou se rencontraient sur les parquets de DALS. Quelques mois plus tard, une fois leur beau parcours terminé (3ème place), le duo officialisait sa relation sur les réseaux sociaux. Et durant trois belles années, les deux stars ont tout partagé de leur vie à deux, que ce soit à travers des Vlogs vacances, des directs sur Twitch ou des FAQ sur YouTube.
Une proximité qui a longtemps fait le bonheur des internautes, mais qui n'a pas toujours été simple à vivre, notamment sur la fin. En février dernier, après des semaines de rumeurs et de harcèlement à l'encontre d'Elsa - accusée d'être trop proche de Florent Manaudou dans la nouvelle saison de DALS, Michou confirmait leur rupture.
Un moment douloureux qu'il aurait aimé vivre de façon privée, qui a visiblement eu des conséquences sur son approche avec ses fans. Au détour d'une interview avec Mehdi Maïzi sur France Inter, le YouTuber a confessé que cette histoire - qu'il assume pleinement, lui avait donné une bonne leçon.
"A l'époque [de l'officialisation du couple] je montrais vraiment tout. J'évoluais et je me disais, 'Wow, c'est fou, il faut que je montre ça', a-t-il contextualisé ce mercredi 3 septembre 2025. Et forcément, pour ma relation avec Elsa, à un moment j'étais en mode, 'Je ne vais pas pouvoir le cacher, ça va être dur'. Et donc, j'avais pris cette décision de rendre ça public et d'en parler".
Or, s'il assure aujourd'hui, "C'est une décision que je ne regrette pas dans le sens où, quand je l'ai fait à l'époque, c'était normal de le faire", il est bien décidé à ne pas répéter la même erreur tant ce partage lui a volé son intimité.
"Je sais que je ne le referai pas aujourd'hui, parce que c'est compliqué, a-t-il soufflé. Tu parles de ta relation publique, donc après, on te demande de rendre des comptes."
Désolé pour ses fans, mais il ne faudra plus compter sur Michou pour autant ouvrir son jardin secret que par le passé. "J'ai mûri, je sais que je veux protéger ma vie privée, a rappelé le pote d'Inoxtag. C'était dur ces derniers mois, car je me disais que j'avais compris que je voulais protéger ma vie privée, mais on ne me laissait pas le choix d'en parler".
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