Loana dans les rues de Nice sans maquillage et droguée ? Elle réagit à la vidéo qui affole la Toile

Le blogueur Aqababe est à l'origine du dernier buzz sur Loana, qui a récemment essuyé les critiques des internautes suite à un post Instagram d'elle et son chien.  Le 20 février dernier, il a en effet publié une vidéo d'elle aperçue dans les rues de Nice, en train de promener sa boule de poils chère à son coeur... au doux nom de Titi. 

Pas maquillée, en total look comfy, cheveux au naturel et accompagnée d'un chariot à courses : il n'en fallait pas plus aux internautes pour s'inquiéter et se demander si elle n'était pas sous l'effet de la drogue. Mais ça c'était avant qu'elle n'intervienne et ne prenne la parole pour faire taire les haters à l'occasion d'une interview accordée à Voici !

"Je sortais juste mon chien à 8h du matin, en pyjama. Il y a eu une deuxième vidéo où on me voit avec mon chariot, j'allais faire mes courses. Croyez bien que je n'y vais pas habillée en Prada, talons aiguilles ou quoi que ce soit !", s'est-elle justifiée cash.

Concernant son look, elle l'assure, tout est fait exprès afin de passer inaperçue et incognito et d'éviter le harcèlement qu'elle a pu connaître : "Je me rends le plus moche possible, sans me maquiller et sans trop me coiffer pour faire mes courses tranquillement parce que j'ai été victime d'un vol à l'arraché et d'un viol, en deux ans. Il ne faut pas se dire que je suis comme ça, c'est fait pour !".

Et de préciser : "C'est pour ne pas attirer l'attention, pour éviter ce qui m'est arrivé ces dernières années. Oui, je me suis fait moche parce que lorsque je sors, je n'ai pas envie qu'on m'agresse. Donc, je mets un sac minable, des Crocs, je ne me coiffe pas trop. Je m'en fiche. Et quand mon chien me demande à 8h de sortir, je ne passe pas 3h à me maquiller."

Mais ce qui lui a fait le plus de peine, ce sont les accusations de drogue. Loana est clair sur le sujet, "ça l'a énormément blessée", et elle assure "être sobre depuis 2 ans". "Je le jure !", a-t-elle même ajouté, avant de conclure : "Si jamais on me propose de la drogue, je souffle dessus".

Voilà qui est dit, la vérité est rétablie.