Oubliées les voitures, les fusées et les avancées technologiques, Elon Musk s'est trouvé un nouveau défi. Ce samedi 5 juillet 2025, le milliardaire a décidé de se lancer en politique. En effet, après avec dépensé plus de 250 millions de dollars pour faire élire Donald Trump en 2024, il est aujourd'hui prêt... à le concurrencer.
Opposé aux récents agissements de l'actuel président des USA qui le pénalisent, Elon Musk a contre-attaqué en lançant America Party, son propre parti. L'objectif ici ? Il aurait pour but de secouer tout ce monde politique qui n'agirait que pour ses intérêts personnels en oubliant ceux du peuple.
"Quand il s'agit de ruiner notre pays avec du gaspillage et du bricolage, on se retrouve à vivre dans un système à un seul parti, ce n'est pas une démocratie, a-t-il déclaré ce week-end. Aujourd'hui, le America Party (Parti de l'Amérique, ndlr) est créé pour vous redonner votre liberté !"
Et si les actionnaires de Tesla - dont la côte à la Bourse ne cesse de chuter, sont déjà fatigués par cette nouvelle direction et veulent le voir reprendre ses esprits, Elon Musk n'a visiblement pas l'intention de lâcher l'affaire.
Ce lundi 7 juillet 2025, l'ancien BFF de Trump n'a cessé d'ouvrir des pistes sur sa vision pour l'Amérique. Aussi, après avoir rappelé qu'il comptait s'attaquer à la dette du pays en partageant un graphique pointant l'évolution inquiétante de celle-ci sous la direction des précédents gouvernements, "L'America Party est nécessaire pour combattre ce parti unique formé par les Républicains et Démocrates", Musk a dévoilé ses priorités.
Interrogé par une internaute sur un sujet toujours sensible aux USA, "Les propriétaires d'armes à feux veulent savoir de quel côté se tient l'America Party sur le sujet", le milliardaire a répondu, "Le deuxième amendement est sacré". Autrement dit, il ne souhaite pas priver les Américains de leur droit à posséder une arme.
Puis, à la question, "Est-ce que l'America Party va adopter le Bitcoin ?", Musk a tout simplement lâché, "La monnaie fiduciaire est sans espoir, donc oui". Vous avez bien lu, il ne croit pas du tout en l'avenir des pièces et billets de banque.
Pour l'heure, on ignore s'il compte vraiment se lancer à la course à la présidentielle ou juste grapiller quelques places au Sénat et Congrès, mais ses sorties devraient à nouveau faire grincer de nombreuses dents.
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