Dans L'amour est dans le pré, il y a des évidences. Certains couples semblent faits l'un pour l'autre tandis que d'autres participants partent avec la rage au ventre. C'est le cas pour Françoise. Elle avait cru percevoir une évidence entre elle et Laurent, un agriculteur ardéchois.
Mais l'évidence a vite laissé place aux red flags aux yeux de l'éleveur de brebis de 58 ans. Ca a commencé lorsque Françoise lui a avoué qu'elle n'était pas branchée cuisine. Loin de chercher une cuisinière, Laurent avait en revanche expliqué vouloir partager sa passion derrière les fourneaux avec sa moitié.
Puis Françoise avait de nouveau fauté à ses yeux en se servant un petit apéro en solo, sans attendre Laurent et l'autre prétendante, Laurence. Résultat ? Laurent s'est d'autant plus rapproché de Laurence. Lors d'une virée en tracteur, il a avoué à cette dernière qu'il était prêt pour "une aventure qui débute".
Un choix qu'il a expliqué à Françoise lors d'un repas au restaurant. A l'image, nous avons eu droit à la réaction bien vénère de la prétendante : "Tu ne veux pas me foutre dehors, mais je vais me foutre dehors toute seule, t'inquiète".
Pourtant, les téléspectateurs d'ADP sont loin d'avoir vu toute cette soirée sur M6. Interrogé par Télé Loisirs, Laurent est revenu sur les coulisses de cette annonce. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que c'était vraiment tendu. L'agriculteur raconte avoir failli se faire gifler : "elle voulait même me mettre une gifle. On est à table, elle se ressert un verre de vin parce qu'elle est en colère et me dit : 'Tu vois, je te mettrais même une gifle !' Je lui ai répondu : 'Si tu veux, tu peux'".
Au final, Laurent ne regrette rien : "Le repas a quand même duré trois heures ! Quand je lui ai annoncé mon choix, j'étais libéré mais vidé, j'avais puisé au fond". Avant de conclure sur une note positive : "Ma grosse inquiétude, dès mon inscription à L'amour est dans le pré, c'était le moment du choix à la ferme. J'avais peur de me tromper face à deux belles personnes. La production m'a rassuré en m'expliquant que souvent, cela se faisait le plus naturellement possible. Et ça s'est effectivement passé comme ça. Aujourd'hui, quand j'y repense, je me dis que je n'ai pas été dans le doute".
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