Après avoir raconté sa descente aux enfers la semaine passée, Matthieu Delormeau était de retour sur le plateau de TBT9 ce jeudi 11 septembre 2025, mais dans la peau d'un chroniqueur. Un rôle qu'il n'avait plus tenu depuis quelques années, ce qui ne l'a pas empêché de rapidement retrouver ses marques. Et à cet effet, comme c'était souvent le cas par le passé, il s'est donc clashé avec... Gilles Verdez.
Durant l'émission, l'équipe de Cyril Hanouna a notamment réagi à une récente décision de la Cour de cassation qui a validé la possibilité de reporter des congés payés en cas de problèmes médicaux durant une telle période. Une avancée sociétale pour Gilles Verdez, un retour en arrière pour Delormeau qui s'attend à des abus, et une énième bisbille entre tous les deux.
"Les arrêts de travail [qui seront signés pour valider ces reports] ne seront pas fictifs, a déclaré Verdez. Et moi je voudrais que ce soit inclus dans le code du travail, comme ça, plus aucun chef d'entreprise ne pourra dire 'je ne suis pas d'accord'." Et de conclure : "C'est formidable. C'est un acquis social extraordinaire".
Une déclaration comme il en a l'habitude, qui a donc immédiatement fait réagir l'ancien animateur du Mag. "Oh put*in" s'est-il dans un premier temps exclamé, saoulé par ses propos, avant de déplorer, "Travailler moins pour gagner moins... C'est hallucinant ce que tu dis."
Et tandis que Laurent Fontaine appuyait, "Comme souvent avec Gilles", Delormeau n'a pu qu'acquiescer, "Oui, voilà, merci". Et de balancer un peu plus tard : "Je sais pas comment tu peux continuer à dire ça".
Une confrontation qui a mi-amusé, mi-dérangé Cyril Hanouna, "En tout cas, vous êtes contents de vous retrouver tous les deux !", même si le présentateur de W9 était plutôt d'accord avec Delormeau. "C'est n'importe quoi, a-t-il reproché à Verdez. Tu sais que je t'adore, mais tu tires la France vers le bas".
© Capture d'écran TBT9 (W9)
Un clash encore gentillet, mais qui illustre bien les tensions qu'il y a déjà au sein de l'équipe de TBT9. Il y a quelques semaines, Isabelle Morini-Bosc confessait que certains chroniqueurs ne souhaitaient pas le retour de Delormeau et Gilles Verdez pourrait bien en faire partie. La raison à cela est simple : leurs clashs à l'antenne ne s'arrêtent pas sur les plateaux.
Il y a encore quelques jours, dans un message supprimé depuis, Delormeau n'hésitait pas à sous-entendre que le journaliste était homophobe. Des accusations insupportables pour ce dernier qui, on peut constamment le découvrir, est le premier à défendre tout le monde.
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