Souvenez-vous, en octobre 2016, Jean-Michel Maire embrassait les seins de la jeune femme, venue sur le plateau de TPMP pour un jeu, sans son accord, suscitant l'indignation de nombreux téléspectateurs qui ont porté plainte auprès du CSA. Malgré cela, les choses semblaient s'arranger : alors qu'elle prenait la défense du chroniqueur de TPMP sur Facebook, ce dernier lui présentait ses excuses en direct de l'émission de C8. "J'ai dit que je ne déposerai pas plainte. Je n'aime pas le conflit."
Une plainte qu'il ne comprend pas
Pourtant, c'est avec surprise que l'on apprenait dans TV Mag qu'elle avait finalement décidé de porter plainte. Une décision qu'elle a pris alors que sa "vie est devenue un vrai calvaire" : "Je reçois de nombreuses critiques, des menaces de mort, des allusions vraiment malsaines, (...) j'ai fait une dépression, (..) je me suis fait agresser et insulter dans la rue. (...) Ma vie s'est dégradée, je me suis renfermée sur moi-même, j'ai échoué dans mes études...".
Un rebondissement auquel Jean-Michel Maire a réagi ce jeudi 29 mars 2018 dans TPMP : "Je pensais que l'affaire était finie, j'ai appris la semaine dernière que Soraya Riffi avait déposé plainte pour agression sexuelle. J'ai été convoqué par la police, entendu par un psychiatre, etc." Expliquant qu'il ne savait pas encore si l'affaire allait être portée au tribunal, il précise : "Pour l'instant on est dans les auditions...".
"On s'est expliqué, elle ne m'en voulait pas"
Très affecté, il avoue ne pas avoir compris : "Je n'ai pas trop bien compris, on s'était eu une fois au téléphone après l'affaire, elle s'était expliquée largement, elle était plutôt même embêtée des conséquences de mon acte très indélicat, déplacé et lourd. Elle ne m'en voulait pas, je ne sais pas pourquoi elle a déposé plainte", confie-t-il, concluant par "Je respecte ça bien sûr, elle a le droit de faire ce qu'elle veut".
