Depuis ses débuts en 2017 avec son personnage d'Ariane, Lola Marois est devenue l'un des visages les plus emblématiques de Plus belle la vie. A tel point qu'au retour de la série sur TF1 en janvier 2024, elle faisait partie des premières actrices invitées à participer à ce reboot.
Or, si la comédienne est donc déjà présente de manière quotidienne dans la vie des téléspectateurs, elle a décidé d'étendre ce lien avec le public d'une façon inattendue. Depuis quelques semaines maintenant, il est en effet possible de la retrouver sur MYM, un réseau social privé qui lui permet de poster du contenu inédit.
"J’ai ouvert un compte MYM, c’est un peu comme Onlyfans, a-t-elle expliqué auprès de Ciné Télé Revue. J’ai fait ça de la même manière que j’ai fait la cover pour Playboy". En avril dernier, Lola Marois faisait en effet la couverture du cultissime magazine en y posant topless. Une expérience qu'elle décrivait à l'époque comme "une fierté et un honneur".
Toutefois, si cette nouvelle aventure peut étonner, elle l'assume pleinement. Comme l'a rappelé l'actrice de 42 ans, elle est parfaitement à l'aise avec son corps et ne souhaite pas se brider pour des raisons qui la dépassent. "Instagram devient très puritain, on enlève à peine le haut qu’on est bannie ou que notre photo est supprimée, a-t-elle soufflé. Mais j’aime le corps de la femme, j’aime être une femme."
Par ailleurs, Lola Marois n'a pas caché que cette expérience était également une façon pour elle de s'émanciper et de reprendre le contrôle sur sa vie et son corps. "Alors oui, c’est rémunéré et ça choque tout le monde. Mais combien de comédiennes se déshabillent pour un producteur avec un cachet minable, a-t-elle détaillé, à raison. Ici, si les gens veulent voir, l’argent tombe directement dans notre poche."
L'actrice a conscience que cette manière de penser n'est pas encore démocratisée en France, mais elle est persuadée que cela arrivera. "Aux États-Unis c’est bien plus démocratisé, les stars et chanteuses le font, de Nicki Minaj à Kim Kardashian en passant par d’autres", a-t-elle justement précisé. Et de déplorer : "En France, ça dérange qu’une femme puisse être son propre patron, je pense".
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