Accro à la drogue et à l'alcool, cette actrice adorée des Français se confie sur l'enfer qu'elle a traversé : "Je suis tombée très bas"

Dès années 90 jusqu'au milieu des années 2000, Adeline Blondieau était l'un des visages phares de TF1. Que ce soit avec son rôle d'Adeline dans Les filles d'à côté ou de Caroline Drancourt dans Sous le soleil, la comédienne était omniprésente sur nos écrans.

Pourtant, si la star de 52 ans aujourd'hui était au sommet et avait tout pour être heureuse, son quotidien était visiblement loin d'être aussi idyllique qu'on ne l'imaginait. Alors qu'elle n'a jamais caché avoir vécu l'enfer durant son mariage avec Johnny Hallyday, Adeline Blondieau a profité de son passage dans le podcast de Laurent Argelier pour se confier sur ses combats passés.

"Par rapport aux moulinettes à travers lesquelles je suis passée, quand je vois le chemin, je me dis : 'Bravo ! La seule addiction que tu aies, c'est au chocolat'", a-t-elle dans un premier temps révélé, avant d'admettre ensuite, "Je m'en sors bien, j'ai essayé l'alcool, j'ai essayé la drogue. Je suis passée par là."

Des expériences douloureuses qui, selon ses mots, auraient pu très mal se terminer pour la star. "L'alcool, ça a fini en coma éthylique quand même, après ç'a été sevrage pendant dix ans, a-t-elle soufflé. Les amphétamines étaient en vente libre. Il fallait avoir la bonne ordonnance et ça, c'était fou."

Et d'ajouter, encore choquée : "C'était de la cocaïne en moins cher et le jour où je suis tombée, je suis tombée très bas quand même, parce que c'est délétère, c'est mauvais, c'est de la merde". Par ailleurs, au sujet de la cocaïne, la comédienne a également confié avoir "essayé une fois". Le twist ? "J'ai trouvé ça extraordinaire, je me suis dit surtout plus jamais".

Désormais guérie de ces addictions, Adeline Blondieau avoue revivre et se sentir mieux que jamais. En revanche, elle ne semble pas franchement décidée à reprendre le fil de sa carrière. A l'inverse de Tonya Kinzinger épanouie dans Un si grand soleil, un rôle dans un feuilleton quotidien ne parait pas l'intéresser.