Par Charlotte Vaccaro Journaliste - chef de rubrique Actu
Chroniqueuse de Touche pas à mon poste sur D8 et aux commandes de sa propre libre-antenne sur Virgin Radio, Enora Malagré est l'une des animatrices phare de 2013. Ce mois-ci, le magazine Technikart a donc décidé de lui consacrer un portrait. L'occasion d'en savoir plus sur l'enfance rebelle de l'ex de Cut Killer. Au menu ? Voitures brûlées et violence. Entre autre.

Enora Malagré "trop rebelle"

Nommée révélation télé de 2013 en juin dernier, Enora Malagré est la "grande gueule" de Touche pas à mon poste sur D8, émission dans laquelle elle n'a d'ailleurs pas hésité à faire un doigt d'honneur à Cyril Hanouna. Véritable phénomène du petit écran, que les téléspectateurs adorent ou détestent, la chroniqueuse a le droit, ce mois-ci, à son portrait dans le magazine Technikart. Sans tabou, l'ex de Cut Killer revient sur son adolescence en banlieue parisienne, et avoue : "Je foutais vraiment trop le bordel (...) J'étais trop délinquante, trop rebelle, pas très maligne. Je suis passée à côté de mes études."

Enora Malagré et son gang

Dans Technikart, Enora Malagré revient également sur les "grosses conneries" qu'elle a pu faire avec son gang, les AK78. Quel genre de grosses bêtises ? "Genre brûler des voitures, taguer partout, frapper des gens. Genre mauvais souvenir", lâche la petite-amie de Gianni Giardinelli. Et d'ajouter, un peu honteuse : "Pathétique. C'est vraiment pas une fierté." L'animatrice d'Enora le soir a, heureusement, tourné la page de cette sale période.

Enora Malagré
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