Baptiste Giabiconi célibataire et maladroit : il aime les filles pas trop jolies... donc avec des formes

Le mannequin est un "coeur à prendre". Baptiste Giabiconi s'est confié mardi au micro de Laurent Argelier dans les Buzz people sur MFM. Celui qui passait il y a six ans le casting de la Nouvelle Star a fait une description plutôt maladroite de sa femme idéale : "pas trop jolie (...) et avec des formes". Donc formes = pas jolies ?

Le petit protégé de Karl Lagerfeld est de nouveau sur le marché. Finie sa romance avec Stéphanie, une Américaine de 25 ans qu'il avait rencontré sur le tournage d'une publicité. Pour Baptiste Giabiconi, c'était pourtant "du sérieux" avec cette fille "de bon conseil. (...) Quand quelque chose ne luit plait pas, elle me le dit". Mais la distance aura finalement eu raison de leur couple.

A la recherche de sa Ugly Betty
A toutes celles qui sont dingues du beau Corse, ses déclarations de ce matin risquent de vous refroidir. Le mannequin a donné une définition plutôt maladroite de la copine de ses rêves : "Je n'aime pas les filles super, super belles (...) plutôt les filles simples, natures, avec des formes et des rondeurs". Si on comprend bien, une femme qui a des formes ne peut pas être super belle ? C'est en tout cas l'avis de Baptiste.

Pour qu'on comprenne bien que Giabiconi est un mec simple, pas adepte du superficiel, il insiste : "C'est chiant d'avoir une femme trop jolie car il faut faire attention. Je suis plutôt attiré par une fille timide, qui reste dans son coin et qui n'ose pas me regarder". Laurent Argelier nous achève avec une question au summum de la misogynie : "C'est quoi ton format à toi, Baptiste?", en parlant de filles toujours.

Une fille "comme Amel Bent"
Et figurez-vous qu'Amel Bent entre dans le "format" du mannequin. La belle brune appréciera. Elle est quand même bien loin de la Ugly Betty qu'il décrit plus haut, non ? Allez, il trouvera bien l'élue parmi ses 1,5 millions de followers Twitter. Ah non mince, ceux là n'existent pas.

Voir la vidéo de l'interview de Baptiste Giabiconi au micro de Laurent Argelier dans notre player.