"Évidemment que mon mari ne s'injecte rien dans la b*te ou ailleurs" : Amandine Pellissard réagit aux accusations de Sam Zirah et Charles Vassal et les incite à sortir leurs "preuves" (exclu)

La guerre est déclarée entre Sam Zirah et Amandine Pellissard. Tout à commencé après une vidéo dans laquelle Charles Vassal, qui s'est reconverti dans le porno, a balancé au présentateur d'AJA qu'Alexandre Pellissard aurait eu des problèmes d'érection sur un tournage X. Très énervée, Amandine Pellissard n'a pas tardé à pousser un coup de gueule, en déclarant notamment que Sam Zirah avait sorti ça car il avait la haine qu'elle lui ait refusé une interview.

"Toujours les mêmes mensonges, toujours les mêmes histoires, alors qu'en vrai, j'ai toutes les notes vocales qui prouvent exactement qui sont les menteuses professionnelles (...) Tu devrais me dire merci, parce que j'ai coupé de moi-même un moment où Charles dit que ton mari se pique pour bander. Il y a aussi une autre coupe que j'ai faite, c'est que tu avais tes règles. Je n'ai aucun problème avec ça, mais par respect pour toi, je l'avais coupé (...) Je me demande sincèrement c'est quoi le syndrome qui fait que tu te prends pour une méga star à tel point que tout le monde aurait envie de parler de toi pour faire du buzz ? Alors qu'en fait, c'est toi qui cours tous les plateaux pour faire parler de toi depuis que tu t'es reconvertie. Je ne comprends pas", s'est agacé Sam Zirah en story.

Contactée par Purebreak, Amandine Pellissard a tenu à mettre les choses au clair. "On est outré de cet énergumène (...) Sam Zirah m'avait contactée pour faire une interview au moment où on a commencé notre reconversion dans le X. J'ai refusé et il l'a mal pris. Je ne souhaitais pas accorder d'interview à cet énergumène là", commence-t-elle.

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"Comme on lui a refusé l'interview, il a interviewé Charles qui a participé de loin à un tournage dans lequel on était (...) Dans une interview, ils ont voulu monter en épingle quelque chose de totalement mensonger. Charles a prétendu que mon mari ne bandait pas et il serait allé jusqu'à dire que mon mari s'injectait des trucs dans la b*te. Evidemment, tout est faux. C'est de la diffamation. Donc j'ai envoyé un message à Sam Zirah en lui demandant de retirer tout contenu dans lequel il parle de nous", affirme Amandine, avant d'ajouter : "Beaucoup font leur beurre sur notre gueule en parlant de nous, et que ce monsieur a eu la haine que je refuse son interview, il a monté ça en épingle avec le Charles bidule, qui est un personnage répugnant".

"Il fait état de la scène de hard qu'on a tournée alors qu'il n'était pas là (...) On a fait une interview avec eux, ensuite nous on a tourné une scène de hard. Lui, il n'avait pas de scène à tourner parce qu'à priori, il n'intéressait pas la production pour ça. Nous, comme c'était notre première scène professionnelle, on a demandé à ce que tous les intervenants dont la présence n'était pas nécessaire pendant la scène sortent du logement. Donc quand il dit qu'il est allé dans la chambre avec sa partenaire, c'est faux. Il était à l'extérieur", explique ensuite celle qui a récemment recadré une ancienne star du porno.

"Nous, on a tout simplement suivi le scénario. Effectivement, il n'y avait pas de pénétration, mais parce que c'était comme ça dans le scénario. C'était notre premier film X, donc la thématique tournait autour des préliminaires, des sextoys, etc. Évidemment que mon mari ne s'injecte rien du tout dans la b*te ou ailleurs, on s'en doute bien (...) Donc monsieur Zirah est dans la diffamation et je lui ai indiqué qu'on allait l'attaquer, car on ne peut faire de l'argent et des vues sur des mensonges", assure la maman star.

"Partir dans des propos diffamatoires de ce degré-là, c'est grave. Attaquer mon mari sur le fait qu'il bande ou pas, je ne vois pas l'intérêt. Et heureusement pour lui, il bande ! Tout va bien ! Mais c'est super grave de dire qu'il va jusqu'à s'injecter des trucs ! C'est n'importe quoi ! C'est fou, jusqu'où ils vont ces gens là ?! Le Charles bidule là, plus personne ne s'intéresse à lui, il est con comme la lune, il doit avoir deux de QI. C'est quelqu'un qui n'a plus la lumière à tous les étages. On ne parle plus de lui, il est hasbeen dans le milieu de la télé-réalité il le dit lui-même, il est boycotté de partout, plus personne ne veut lui accorder de crédit en télévision, donc il essaye de faire du buzz sur notre dos !", s'agace-t-elle ensuite.

"Ce Sam Zirah, il ne mérite vraiment pas d'avoir encore de la pub, il ne mérite pas d'avoir bonne presse. Quand on ment sur un couple, parents, et que l'on fait de la diffamation pour générer des vues, je trouve ça foncièrement honteux ! On n'a pas à agir comme ça !", poursuit celle qui a enfin trouvé sa maison de rêve.

"Si ça avait été vrai, nous, on n'a aucun problème, on assume tout. Si Alex avait eu une panne ce jour-là, on l'aurait dit. Effectivement, ce jour-là, j'avais mes règles, on l'a dit nous même ! Donc c'est pas tabou. Mais par contre, le mensonge, ça, je ne supporte pas. Alex allait très bien, on a suivi un scénario. Moi, j'avais un scénario qui est adapté aux femmes qui tournent des scènes X pendant leurs menstruations parce que ça arrive, je ne suis pas la seule, on s'en doute bien", explique encore Amandine.

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"Je ne comprends pas pourquoi Sam Zirah continue de parler de nous alors que je lui ai expressément demandé d'arrêter. Ça va se terminer par un dépôt de plainte, parce que moi, je n'en peux plus. J'en ai ras le bol. Il faut qu'il nous lâche ce gars-là. C'est grave d'en arriver là. Porter préjudice aux gens, mentir à ce degré là, et ça, avec la complicité de Charles bidule, qui n'a rien dans la tête. Pour qu'on parle de lui, il faut qu'il parle de nous, c'est quand même désolant ! Moi, le jour où j'ai besoin de parler de quelqu'un d'autre pour qu'il s'intéresse à moi, mais j'arrête tout !", regrette ensuite Amandine.

"J'en ai vraiment ras le bol de ce Sam Zirah et de ce Charles machin. Ce sont des menteurs qui veulent générer des vues et du buzz en diffamant des personnes honnêtes", insiste-t-elle.

Amandine Pellissard incite également Sam Zirah à sortir les fameuses notes audios qu'il assure avoir en sa possession : "Il dit qu'il a des notes audios, mais nous, on attend que ça qu'il les sorte ses notes audios ! Parce que, nous, les seules notes audios qu'on a de lui, c'est sur Insta, quand il m'a demandé une interview et que j'ai refusé. Mais oser dire que quelqu'un aurait dit que mon mari se pique pour bander, ce sont des propos très graves ! En plus, ce sont des mensonges ! C'est terrible d'en arriver là ! Que ce soit Charles ou lui, je pense qu'ils sont bien complices tous les deux. Ça fait quand même plusieurs vidéos qu'ils tournent en peu de temps où ils parlent de nous pour générer des vues", ajoute celle qui attend son neuvième enfant.

"Donc là, on lui demande expressément de sortir ses notes audios, parce qu'il n'en a aucune de notre part ! Et si ce sont des notes audios de Charles machin qui nous diffame encore plus, c'est encore mieux ! Qu'il les sorte ! Qu'on les affiches les menteurs ! Stop ! Faut arrêter de faire chier les gens qui ne font chier personne ! Nous, on fait notre truc tranquille de notre côté, et faut toujours qu'on nous pourchasse... Lâchez-nous ! (...) Qu'il les sorte les preuves où on dit que mon mari se pique pour bander, mais qu'il sorte ça !", déclare Amandine.

"Je l'invite à diffuser les fameux audios où il me traite de menteuse. J'aimerais bien les entendre de mes propres oreilles parce que c'est de la science-fiction. C'est honteux de mentir comme ça. Je ne comprends pas comment il peut utiliser les propos de ce Charles et porter préjudice en mentant sur des gens qui sont parents. Nous, on en a rien à foutre. Une panne, une kekette qui ne marche pas, ça arrive à tous les mecs. Donc si ça avait été le cas, on l'aurait dit. Mais là, en l'occurrence, ça ne l'est pas. Il me traite de menteuse, il parle de notes vocales, mais vas-y, sors les les notes vocales ! À par celles de son binôme Charles, avec qui ils montent toute leurs petites merdes en épingle parce que ça leur fait des vues à tous les deux, il n'a rien. C'est honteux, c'est grave et c'est répréhensible par la loi", conclut Amandine Pellisard.

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