Demain nous appartient : les scènes de sexe entre Noor et Gabriel difficiles à tourner ? Les acteurs balancent : "Cela ne me rend pas très pudique"

Très à la mode dans les fictions au début des années 2010, le concept de sex friends a été remis au goût du jour cette année dans Demain nous appartient. Depuis quelques mois maintenant, Noor et Gabriel s'autorisent effectivement quelques galipettes sous les couettes entre deux sessions de rire. Une situation qui pourrait se compliquer dans le cas où l'un des deux personnages développerait de véritables sentiments pour l'autre, mais qui ne semble pas difficile à jouer pour leurs interprètes.

Interrogée par Télé-Loisirs au sujet des différentes scènes de sexe imaginées par les auteurs, Sahelle de Figueiredo a au contraire confessé qu'elle était rodée par l'exercice. "J'ai la chance d'avoir fait pas mal de séquences en étant un petit peu dénudée avec d'autres comédiens, comme notamment les interprètes de Timothée, Cédric ou Jules. J'ai un peu dépassé ce truc-là", a-t-elle notamment expliqué.

Plus loin, la comédienne a par ailleurs rappelé qu'elle était capable de prendre du recul sur les événements à jouer, "C'est le personnage que j'interprète [qui fait ces scènes]", ce qui lui permettrait ainsi d'apparaître libérée sur les plateaux, "Du coup, cela ne me rend pas très pudique. (...) Je me suis jamais trop sentie mal à l'aise".

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Et du côté de Martin Mille, son partenaire de jeu ? Le ressenti est identique. "Il n'y a pas de malaise parce qu'avant que nos personnages aient cette histoire-là, on tournait déjà ensemble, a-t-il indiqué, conscient que cette complicité les a bien aidés durant cette évolution scénaristique. On se connaissait en tant qu'amis et on est jeunes."

Le comédien l'a également ajouté, là où certains acteurs préfèrent logiquement une équipe réduite sur les plateaux durant les tournages de ces séquences sexy afin de limiter cette sensation de gêne, il se sent à l'inverse plus à l'aise en se sachant entouré. La raison ? Cela l'aide à dédramatiser l'événement. "Il y a les caméras, les techniciens autour de nous qui font qu'on ne peut pas vraiment être gênés parce que ça coupe tellement de la réalité que quand on tourne, tu sais que c'est du jeu et que ça n'engage à rien entre guillemets", a-t-il confié.

De là à dire que les scénaristes vont profiter de ces propos et de l'arrivée de l'été pour leur en faire jouer davantage et faire monter la chaleur...