Juste après 100% Logique, jeu orchestré par Cyril Féraud, France 2 a misé sur une nouvelle édition de Quelle époque le samedi 18 février 2023. Léa Salamé y a été accompagnée de Christophe Dechavanne et Philippe Caverivière.
L'équipe de Quelle époque a notamment reçu Kev Adams. L'humoriste, qui aurait été ingérable sur le tournage de Mask Singer pour TF1, est venu présenter son nouveau spectacle, "Miroir". Léa Salamé lui a trouvé de nombreux points communs avec Clara Luciani, également invitée de l'émission.
Kev Adams et son image...
Kev Adams a confessé qu'il n'aimait pas son image. "J'ai beaucoup de mal avec ça. J'ai réalisé, presque sans m'en rendre compte, qu'il n'y avait pas du tout de miroir chez moi. Je réalise que je ne regarde jamais les émissions... Quand il y a des avant-premières de films, c'est un vrai cauchemar ! Je n'attends qu'une chose : c'est de pouvoir me barrer de la salle au plus vite...", a-t-il expliqué.
L'humoriste, dont le film Happy Nous Year a été violemment critiqué sur Netflix, s'est confié sur l'impact de son métier sur sa vie sexuelle. "Ça amène parfois des choses très gênantes. C'est dur de s'exposer dans l'intimité quand on a du mal avec son image publique...", a souligné celui qui a choisi de se livrer sans filtre dans son nouveau spectacle.
"Ça m'est arrivé d'avoir des situations de malaise extrême..."
Léa Salamé a cherché à savoir si son invité, qui était attendu comme une rock star par les filles à l'âge de 16 ans, se retrouvait aujourd'hui, à 31 ans, "sans désir". "Non, je ne pense pas qu'on se retrouve sans désir. Par contre, on se retrouve parfois très mal à l'aise. Ça m'est arrivé d'avoir des situations de malaise extrême...", lui a-t-il répliqué.
"Ça m'est arrivé de coucher avec une fille et qu'en plein milieu de l'acte, elle s'arrête et me dit : 'Attends quand je vais raconter ça à mes potes que je suis en train de coucher avec toi, mais c'est dingue !' Et moi, c'est fini. A partir de ce moment-là, c'était impossible de durcir...", a lâché Kev Adams, tout en ironisant d'avoir alors "été comme Christophe Dechavanne".
