Britney Spears va pouvoir respirer et éviter un nouveau scandale. La plainte qu'a déposé le frère de Kevin Federline contre la star de I Wanna Go et de Toxic est complètement fausse. Christopher Federline n'est en aucun cas le père de Sean Preston, il a simplement été victime d'un usurpateur d'identité qui a voulu semer la zizanie dans la vie de Brit-Brit.
Bonne nouvelle, Britney Spears ne sera pas obligée d'affronter un nouveau coup dur dans sa vie. Et heureusement car après le procès éprouvant engagé par son ex manager Sam Lufti (qu'elle a d'ailleurs gagné), elle n'avait vraiment pas besoin de ça. D'après des sources qui se sont confiées à US Weekly, l'injonction temporaire déposée le 18 décembre dernier en Floride, afin que Britney Spears n'approche plus le frère de son ex mari Kevin Federline, était trafiquée.
Christopher Federline n'a jamais écrit qu'il était le vrai père de Sean Preston et que Britney Spears l'avait menacé, volé et harcelé. Une source a en effet expliqué que cette histoire n'avait aucun sens parce qu'il travaille actuellement à Los Angeles, alors que la plainte a été déposée en Floride. Une seconde source a également confié : "Chris n'essaierait pas d'obtenir de l'argent de cette façon, même si c'était vrai. Il a un bon travail, malgré le document qui dit qu'il est au chômage".
Pourtant, la famille Federline serait très préoccupée par toute cette affaire puisque les signatures étaient parfaitement réalisées et que la personne ayant rédigé le document connaissait des détails au sujet de Christopher. Mais qu'elle se rassure, car comme le confirme The Smoking Gun, ce gros canular était l'oeuvre de Jonathan Lee Riches. L'homme de 35 ans n'en est pas à sa première "blague" puisqu'il a déjà usurpé les identités de certains athlètes, politiciens ou stars afin de concocter ses farces machiavéliques.
D'après un rapport du TSG, c'est lui qui se serait fait passer pour le père de Selena Gomez et qui aurait accusé Justin Bieber d'avoir volé sa carte de crédit pour s'agrandir le pénis. Britney Spears peut donc reprendre sa vie tranquillement, en espérant qu'un autre plaisantin ne viendra pas de nouveau la mettre au coeur d'un pseudo-scandale.