Celle qui avait participé à Koh Lanta 2020 (Koh Lanta, l'île des héros) sur TF1 s'était déjà confiée sur ses anciens complexes de poids. Dans sa story Instagram de ce 21 juillet 2020, Inès a raconté qu'au niveau du corps, elle a "pu le travailler pendant trois ans pour avoir les résultats" qu'elle souhaitait. "J'ai essayé de tout mettre en place pour changer de physique" a-t-elle ajouté.
L'aventurière a aussi avoué qu'elle était complexée par son ancienne poitrine et a subi une opération de chirurgie esthétique. "J'avais une hypertrophie mammaire, c'est-à-dire une absence de développement mammaire. Je n'avais pas du tout de seins, je ne remplissais pas le 75A" a-t-elle indiqué, "je n'ai pas payé mes seins. J'ai été prise en charge par la sécurité sociale".
L'ex candidate de Koh Lanta 2020 qui avait démenti les rumeurs de couple avec Moussa est donc parvenue à régler ses complexes. Sauf celui du visage, qui semble beaucoup l'importuner. "Aujourd'hui, j'ai vu un docteur" a-t-elle expliqué dans sa story Insta, "et je lui ai fait part de quelques complexes, qui me gâchent la vie et qui me mettent pas mal de contraintes".
"Je ne peux pas vous faire un seul face-caméra sans mettre de filtre, c'est impossible pour moi. J'ai été insupportable pour les castings de Koh Lanta, il ne fallait pas mettre de filtres, pareil pour les interviews..." a affirmé Inès, "Vous avez du le voir, vous ne me verrez jamais sans filtre quand il s'agit de montrer mon visage". Pourquoi ? "Parce qu'il a plein de choses que je ne supporte pas et qui sont malheureusement ancrées en moi depuis que je suis petite. Je n'ai cessé de grandir avec cette perception de moi-même donc c'est très compliqué aujourd'hui. Même si on me dit 'Inès, tu es jolie', moi je ne me plais pas, et cela ne me permet pas d'avancer dans ma vie. J'ai vraiment du mal avec mon visage" a-t-elle déclaré.
Mais quel est donc ce gros complexe qu'Inès a au visage ? "Sous les yeux, j'ai comme des poches qui remontent quand je souris" a-t-elle révélé, "à tel point que je ressemble à un 'mini-BN' ou une 'asiat' : on ne voit plus mes yeux. Que ce soit dans la vraie vie ou sur les photos, c'est quelque chose que je vois en permanence. Et vous le savez, une fois que l'on fait une fixette, c'est terminé".
Cette infirmière de profession qui avait interpellé Emmanuel Macron sur ses conditions de travail pendant le Covid-19 a été très déçue de la réponse du médecin. "Le docteur pensait que c'était un peu de graisse qu'on pouvait facilement enlever (...) Mais il s'avère que ce serait musculaire", "il s'agirait d'une hypertrophie". Ce qui veut dire qu'il n'y a "pas de solution", que "chirurgicalement, on ne peut pas faire d'opération pour retirer le muscle". Pour Inès, "c'est un coup dur car c'est un complexe, ce n'est pas un caprice".