Josh Hartnett, Jack Gleeson... ces people qui ont osé plaquer le star-system

Au début des années 2000, les posters de Josh Hartnett recouvraient les murs des chambres d'adolescentes. Et puis plus rien. Le héros souvent romantique et toujours sexy de Un été sur Terre, Pearl Harbor, 40 Jours et 40 Nuits, The Virgin Suicides ou encore Sin City a disparu de nos écrans plus vite qu'il n'y était arrivé. Dans une interview au Time Magazine, Josh Hartnett a expliqué pourquoi il a fait le choix de disparaître : "J'attendais [d'Hollywood] quelque chose qu'elle ne voulait pas me donner. Alors j'ai décidé de faire un break dans notre relation". Fatigué d'être reconnu partout où il allait et fatigué des rôles qu'on lui proposait, il est reparti s'installer dans sa ville natale du Minnesota pendant presque dix ans. Un break auquel il a finalement choisi de mettre fin en rejoignant le casting de la série Penny Dreadful diffusée à l'été 2014 sur Showtime.

[Attention spoiler] A seulement 22 ans, Jack Gleeson a choisi de mettre un terme à sa carrière. L'acteur, qui jouait dans des films depuis l'âge de 8 ans, a marqué tous les esprits pour son rôle du detesté roi Joffrey dans la série Game of Thrones. Et la mort de son personnage au début de la saison 4 a signé le début de sa nouvelle vie. A Entertainment Weekly, le jeune homme a ainsi expliqué : "Je ne m'amuse plus autant qu'avant. Je ne déteste pas ça mais ce n'est pas ce que je veux faire dans la vie". Entre la direction de sa compagnie de théâtre et ses nombreux engagements humanitaires, Jack Gleeson a de quoi s'occuper.

Alors oui, les stars des boysband des années 2000 n'ont pas forcément choisi de quitter la lumière. Elles ont plutôt été poussé à la porte des maisons de disque une fois la mode passée. Mais quand Quentin Elias ou d'autres ont essayé par tous les moyens de rester dans le star system, Adel Kachermi, lui, a volontiers effacé la ligne "2be3" de son CV. Aujourd'hui, il est un homme d'affaires à succès. A la tête de sa conciergerie de luxe, Adel travaille avec le gotha sans lui appartenir. Malin.

Son nom ne vous dit peut-être rien et pourtant vous connaissez forcément son visage. Et pour cause, il y a vingt ans, Ludwig Briand interpérait Mimi Siku dans la mythique comédie Un Indien dans la ville. Après avoir continué sa (jeune) carrière dans quelques téléfilms, le jeune homme a "choisi le bac plutôt que le cinéma" : "La comédie m'a toujours plu mais déjà petit mais je me voyais pas en faire mon métier. Mon beau-père était intermittent du spectacle et déjà à cette époque c'était difficile. Je ne suis pas pour le star-system, et je pense d'ailleurs que c'est ça qui tue le cinéma et le théâtre actuel.", expliquait-il récemment au Plus du Nouvel Obs.

Parmi les starlettes de télé-réalité, il y a celles qu'on voit tous les ans, qui se recyclent dans trois, quatre ou cinq saisons, voire trois, quatre ou cinq émissions différentes comme Amélie Neten, Nabilla Benattia et d'autres. Et puis il y a celles, plus rares, qui refusent les invitations en boîte de nuit et les contrats de chroniqueurs d'un jour. A moins qu'ils ne recoivent juste pas de propositions. Après Secret Story 5, Les Anges de la télé-réalité 4 et L'Île des Vérités 3, Aurélie Van Daelen a choisi de ne pas terminer son grand chelem de la télé-réalité. Il y six mois environ, l'ex candidate ouvrait son propre salon d'esthétique spécialisé dans l'extension de cils. Nouveau métier pour une nouvelle vie.

Toutes ces stars ont osé plaquer le star-system pour vivre une vie tranquille à l'ombre des projecteurs. Si vous aussi vous voulez oser quelque chose de différent, direction le sitewww.osezvosenvies.fr