Cauet tacle Arthur : "Il demeure mon anti-modèle par son comportement"

En plus d'être en froid avec Cyril Hanouna, Arthur l'est aussi avec Cauet... dire que l'animateur était l'idole de l'ancien présentateur de La Méthode Cauet dans les années 90. Eh oui, comme le producteur de radio dans son autobiographie T'es habillé comme tout le monde mais tu ne ressembles à personne, il a tout tenté pour décrocher un stage à Fun Radio pour travailler avec Arthur. Un pari réussi, mais s'il avait su, il n'aurait peut-être jamais accepté l'expérience.

"Trop heureux, je débarque et constate que le roi Arthur est déjà entouré de dix assistants-stagiaires", explique Cauet dans un extrait dévoilé par TéléLoisirs avant d'ajouter : "Le Arthur que je côtoie quotidiennement n'a rien à voir avec le personnage enjoué que j'écoutais. En fait, il n'est pas sympa du tout, vraiment pas ! Notamment avec ses jeunes assistants débutants comme moi. En quelques semaines, huit stagiaires craquent, tant ce 'roi de la radio' est odieux. Bientôt, nous ne sommes plus que deux à faire ce job ingrat." Sympa !

L'animateur de NRJ raconte ensuite une anecdote assez étonnante sur Arthur : "Moi qui étais super content de venir travailler sur Fun pour mon idole, j'arrive désormais la boule au ventre. Jusqu'à ce jeudi où j'explique à Arthur que je ne pourrai pas venir le lendemain car ma copine, Virginie, doit subir une intervention chirurgicale à Reims. Sans prendre le temps de compatir ni de demander des précisions, ou même d'avoir la politesse de lever le nez de sa feuille, il me lance : 'De toute façon, avec toi, y a toujours des problèmes'."

Depuis ce jour, rien n'est plus pareil pour Cauet : "Si Arthur est un modèle à l'antenne, il demeure mon anti-modèle par son comportement en dehors à cette époque. Je ne veux surtout pas décevoir à ce point les gens ! J'ai toujours essayé d'être respectueux envers mes collaborateurs. Même si je ne vais pas vous faire croire que je connais tous leurs prénoms par coeur. En revanche, je fais toujours attention aux gens, ne serait-ce qu'en leur disant 'bonjour'."